Pascale Védère d’Auria (textes) et Pierre Couronne (illustrations) ont publié une série d’histoires sous la collection Conte de la Ferme au début des années 1990. Voici Une Vraie Maman Poule, publiée en 1992.
Très joliment illustré et entièrement en couleur avec certaines illustrations en double page, ce livre nous raconte l’histoire de Maman poule qui est partie chercher de la nourriture dans le bois et qui rencontre Rouquin le renard qui compte bien en faire son déjeuner…
Ali Baba et les 40 voleurs (André Bertrand)
Adapté à de nombreuses reprises en livre pour enfants, ce conte extrait des Mille et une nuits est un très grand classique. La version présentée ici est celle adaptée par Jean Bodar et illustrée par André Bertrand. Publiée en 1970 dans la collection L’âge d’or par Casterman, c’est une version joliment illustrée entièrement en couleur.
Cette version fut ré-éditée par Casterman, toujours dans la collection L’âge d’or en 1981 mais avec une pochette différente.
Contes du Joli Bois • Les Dragons (Wolf)
Publié en 1993 par les éditions Visconti, ce livre nous permet de rejoindre les habitants de Dragulandie. Dans la série des Contes du Joli Bois de Tony Wolf on y trouve des gnomes, des géants, des fées mais aussi des Dragons!
C’est d’ailleurs le dernier des six volumes de cette série publiée à l’origine en 1984 et 1985.
Une réel plaisir de retrouver les riches illustrations de Tony Wolf entièrement en couleurs et parfaitement reproduites. Un grand classique à ajouter dans votre bibliothèque.
Les souliers rouges (Andersen/Ségur)
Publié en 1960 (le dépôt légal date du 4ème trimestre 1960) pour l’édition originale, ce recueil de contes d’Andersen (traduction de Pierre Georget La Chesnais, 1937) est illustré par Adrienne Ségur. Il fait suite au précédent recueil Ib et Christine (lien).
Les magnifiques illustrations d’Adrienne de Ségur sont en noir & blanc mais aussi en couleur et parfois sur une double page.
L’édition présentée ici date de 1975 mais comme toujours pour cette collection (je possède parfois l’édition d’origine et la ré-édition), les ré-éditions sont très fidèles à celle d’origine et sont surtout généralement plus faciles à trouver.
Autres contes présents dans ce livre :
- La petite fille qui marcha sur le pain
- La paquerette
- Le vilain petit canard
- La reine des neiges
- Le sapin
- Les cygnes sauvages
- Les souliers rouges
- Poucette
Alice à travers le mirroir (Maraja)
Les éditions GPR (groupe Fabbri) ont sorti une superbe série de livres illustrés intitulée Les Grands Livres Merveilleux (réédition d’une série du même nom publiée fin 1950/début 1960 aux éditions Fabbri).
Publié en 1981, ce volume fait suite au classique Alice aux Pays des Merveilles publié juste avant. On y retrouve des illustrations de Maraja faites après guerre et comme vous vous en doutez, elles sont absolument splendides. Entièrement présentées en couleurs, les illustrations sont particulièrement soignées et détaillées et comme souvent avec Maraja, très expressives.
De part son format (environ 34 cm sur 25 cm avec couverture cartonnée) cette édition permet de profiter pleinement du travail de l’illustrateur.
Contes du Joli Bois • Les Lutins (Wolf)
Publié en 1999 par les éditions Mixing (filière de Dami Editore), ce très joli livre de Tony Wolf est une merveille de réalisation. Les dessins très soignés et précis, entièrement en couleurs, regorgent de détails et les personnages sont très expressifs. Il s’agit ici de l’une des œuvres la plus connue de Tony Wolf et on comprend pourquoi. Cette édition est très soignée et rend justice au travail de cet illustrateur de talent.
Les Gnomes est le deuxième des six livres que Tony Wolf publiera dans cette série en 1984 et 1985.
Peau d’Ane (Sampedro)
Le conte de Peau d’Âne est ici présenté avec des illustration soignées de José Luis Macias Sampedro., très actif dans cette collection.
Les éditions Hemma publiait ce livre entièrement en couleurs en 1974 dans une collection simplement nommée “Les plus Beaux Contes”.
Petite remarque: contrairement à son travail sur Cendrillon dans la même collection, Sampedro n’est ici pas crédité mais on reconnait son travail par sa signature présente sur une seule (la dernière) illustration.